Voilà en peu de mots un des piliers fondamentaux de la philosophie et de la méthode mise au point par le Dr Bach.
Alors que je suis très attentive à suivre cet axe-là dans ma pratique professionnelle pour autrui, la Vie m’a tout récemment rappelée à l’ordre sur ce sujet par une épreuve personnelle. J’ai été invitée à reprendre pleinement conscience de l’importance cruciale de ce fameux « traiter la cause » dans sa toute première origine pour véritablement recouvrer équilibre, force et stabilité intérieurs au présent.
Il y a quatre ans, un ensemble de circonstances stressantes a fortement impacté ma santé physique, entraînant un grand nombre de symptômes corporels très invalidants. Malgré les multiples et diverses investigations médicales et les traitements prescrits, malgré mon auto-prise en charge sur le plan émotionnel par les essences florales, je n’arrivais pas à reprendre le dessus, j’avançais avec grandes difficultés dans la vie sans vraiment y prendre part. Je piétinais en tentant vainement de trouver les fleurs de Bach dont j’avais besoin sur le moment pour aller mieux.
Jusqu’au jour où une thérapeute m’invite à formuler ce que je ressens, à dérouler le fil de tout mon mal-être, à remonter jusqu’à la véritable origine de mon état actuel pour enfin toucher et identifier et reconnaître LA CAUSE en question, LA seule et unique CAUSE expliquant que je ne me sentais pas tout à fait moi-même et que je n’arrivais pas à être bien dans ma vie.
Être guidée jusqu’à la cause m’a aidée à réaliser que je ne m’étais finalement pas totalement remise du choc survenu ce jour de mars 2018 au cours duquel tout avait basculé pour moi et ma santé générale. Je mesurais enfin combien cet instant précis était encore gravé en moi comme un traumatisme profond avec une fraîcheur inouïe, m’empêchant d’accéder à la cicatrisation de cette blessure.
C’est bien évidemment Star of Bethlehem, l’Étoile de Bethléem, qui était LA clé et LA solution finale dont j’avais besoin pour parachever mon cheminement d’épluchage des couches émotionnelles.
Je l’avais pourtant prise à la suite de l’événement, et même après, mais visiblement pas suffisamment longtemps pour que le rééquilibrage puisse s’installer solidement et en profondeur.
Une fois reconnue et acceptée, j’ai pris cette fleur de Bach et il ne m’aura pas fallu longtemps pour ressentir la Joie se réveiller peu à peu en moi, jusqu’à me sentir entièrement réparée et enfin prête à revenir vers la Vie et y prendre part pour de bon.
Cette expérience personnelle valide pour moi toute l’importance que nous, Conseillères et Conseillers Agréés par le Centre Bach, devons accorder :
- à LA CAUSE des maux qui se manifestent,
- aux traces émotionnelles que le choc laisse et induit à l’intérieur de soi,
- à la nécessité d’adapter la durée de la prise des fleurs de Bach jusqu’à ce que la personne ressente pleinement que l’équilibre, la force et la stabilité sont à nouveau là.
Christine Montaudié pour L’INSTITUT.